Bonjour mon ami,
Tu es toujours aussi précis dans tes réponses. L’une
d’elles
te donne l’occasion de nous confirmer ta vérité sur la
fin de l’homme. Confronter différentes vérités
est très contraignant. Ceux qui croient que la création des
mains de Dieu date de dix mille ans, (Vérité pour certains),
prévoient
une fin proche de la Vie sur Terre.
Vieillissons indéfiniment ce Dieu indéfinissable en le repoussant
vers moins l‘infini, et suivons les analyses des résultats de
recherches scientifiques, (Vérités pour d’autres) : Oui,
une fin proche des hominidés est prévue. Et là nous sommes
d’accord ! D’accord, et fautifs…
La
Vérité est dure à définir…
Ton éloge sur la vérité est excellent: la vérité est
l’unique possibilité de toute compréhension !... A condition
que toute erreur soit corrigée par l’ensemble des êtres
vivants. Et cela est le plus dur à atteindre.
Car qui donne réellement la bonne solution ? Quelle vérité ?
Celle de pauvres êtres malheureux et /ou incultes, obligés de
vivre pour seulement manger ? Celle des mieux nantis, s’occupant de vivre
le plus bourgeoisement possible « au présent » ? Celle d’une
majorité ayant choisi un concept et n’en bougeant pas ? Celle
des conquérants ? Celle de gens, nombreux, qui cherchent, pour la trouver...
et celle de chercheurs de métier, convaincus. Et d’autres avec
moi, humblement.
Vérité abandonnée par la sécurité quotidienne
mendiée ou réclamée aux dirigeants politiques liés
au monde de la finance !
Voyons
comment comprendre tout cela…
Avec le temps va, tout s’en va … avec le temps, va… Il faut
donc, à temps, très vite, vulgariser et diffuser les connaissances
universelles données par les sciences et les expériences, avant
qu’elles ne disparaissent dans un brouillard de rejet, lassitude, bêtise,
ou barbarisme.
Pour repartir d’un bon pied dans la compréhension des traces du
passé et des résultats des recherches scientifiques, il est nécessaire
d’exciter la curiosité. Et espérer un accueil positif de
tous! Simplifier n’est pas aisé pour parler de ces phénomènes
naturels qui sont à l’origine de la vie. Mais c’est possible
!
Et pourquoi sommes-nous les enfants des étoiles ? Et qu’est-ce
que le temps ? Et bien d’autres questions sur ces poussières « pièces
de puzzles », rassemblées « par hasard » dans le coin
de l’univers où nous sommes.
Car
c’est sur notre planète, avec l’aide du temps
et des coïncidences et de ce matériel récolté,
que la vie est apparue : une chimie aléatoire avec cet ensemble
de poussières
venu de toutes parts de l’univers, et de l’eau, sublime
hasard ! Un
assemblage… un résultat : quelque chose qui bouge,
un « mobile » ,
une vie unicellulaire, puis l’évolution complexe sur
trois milliards d’années (et demi !) pour voir la
vie s’organiser, celle
de nos ancêtres apparaître et évoluer vers la
forme que nous avons: vivant au milieux d’autres espèces
.
Les vivants ont failli être exterminés plusieurs fois par les
instabilités et colères répétées du globe
terrestre… Depuis plus de deux cent mille ans croissent certaines espèces
qui nous ressemblent. D’autres ont vécu et disparu… Par
elles-mêmes ou par la croute terrestre qui bouge sans cesse...
A quand, le prochain cataclysme ?
Il est possible d’acquérir petit à petit, une
vaste connaissance de sujets bien analysés, et comprendre
que de moins à plus l’infini,
tout est lié. Vaste étendue de « temps »,
avant et après nous ! … Vulgariser n’est pas
vulgaire, au contraire !
Et vulgariser notre petitesse, quel exercice d’humilité !
Voyons
le passé récent…
Il est primordial de garder et regarder les traces du passé comme repères
de l’évolution. Ne pas retrouver ces bibliothèques antiques
brulées, ces monuments d’un autre âge torpillés.
Actes barbares qui retardent l’acquisition de certaines vérités
palpables, lisibles, compréhensibles, explicables. Vérités
relativement récentes que l’on peut associer aux progrès
de la connaissance de l’ensemble microcosme nucléaire à macrocosme
stellaire.
Les mémoires peuvent être détruites, mais rien n’empêchera
l’homme de combler le vide pour connaître exactement sa place dans
le ou les univers… Place infiniment petite pour les minuscules choses
vivantes que nous sommes… Et le passé récent, bien détaillé,
classé, donne des références pour se mesurer
au temps.
Le
passé lointain et le temps de nos horloges.
Etre convaincu de l’âge de la terre, (4,54Milliards d’ans),
dans notre univers visible (14.75Milliards d’ans). Convaincu d’un
moment d’apparition de la vie sur terre (3,48Milliards d’ans),
ainsi que son évolution au cours des millénaires. Regarder l’évolution
du vivant, et de l’homme, afin de retarder la fin probable de notre race
terrienne (deux cents mille ans seulement, mais quand même
!).
La lente croissance de la complexité des connaissances est naturelle
; lente au début, elle suit une loi exponentielle, où nous sommes
déjà très hauts dans la courbe… Tout va de plus
en plus vite. L’apparition des génies humains aussi s’accélère,
avec des inventions et des créations nous faisant désormais fréquenter
un seuil explosif. Possibilité d’un désastre
non naturel duquel la race ne survivra plus.
Nous n’aurons pas la chance qu’eurent les ancêtres aux périodes
des glaciations ou du volcanisme dévastateur: quelques survivants redémarrant
la multitude ! Disparition totale ? Cela fera rire le soleil pendant cinq milliards
d’ans encore…
L’intelligence
et les connaissances …
Les recherches d’explications valables sur la présence de la vie
sur terre sont assez récentes et avaient progressé lentement
; en quelques milliers d’ans seulement, l’atténuation des
réactions bestiales de l’humain, a permis à des milieux
nomades, tribus, sociétés archaïques, à modeler ce
qui fait notre société.
Les dix mille ans passés ont livré les textes anciens de différentes
religions. Décryptés, étudiés, tous font mentions
des points sensibles que sont: la mort de l’individu, la continuité de
la vie du groupe, et « d’où venons-nous».
L’histoire nous montre cette évolution par les restes humains
et matériels. Le bien et le mal s’y côtoient
!
La paléontologie étudie les restes des traces de la vie passée,
sur des millions d’années. Elle montre une suite logique de l’évolution
du vivant sur ce long temps, aidée de méthodes modernes (datations
physiques, décryptage ADN, etc.)
Le niveau d’interprétation de l’évolution de la vie
sur Terre semblait stagner avec des explications invérifiables, mais
acceptées par le commun. Peut être dans l’attente d’un
mieux à venir… Peu de problèmes désormais, sinon
chercher et préciser encore.
Ce siècle passé a vu un changement très rapide de la vie,
du social, et des explications scientifiques. Les progrès ont continué à s’installer:
nous y voilà… Hélas, des peuples en difficultés
traînent encore ; la saturation matérielle ruine le globe, le
salissant au point de rendre par endroits, la vie improductive et parfois invivable.
Les avertissements des savants et des sages, et il y en a, sont à l’ordre
du jour.
Les sciences ont fait un nouveau bond en avant ces dernières décennies,
mais les hominidés auront-ils le temps de profiter des nouvelles connaissances
acquises, et de leurs applications, surtout en biologie, (connaissance complète
de notre corps), et en chirurgie (réussites pour s’implanter des
pièces de robots…) , et plus encore.
Nous pourrions envisager une nouvelle manière de vivre plus économique,
et avec une limitation des excès, dont les naissances, par exemple.… Sinon,
nous courons à la catastrophe, simplement par « panurgisme » d’humains équipés
de Smartphones, allant tomber d’une falaise ! Pourtant l’intelligence
est de plus en plus vive, parait-il ! Il vaut mieux regarder devant
soi
Le
temps des hommes et la survie…
Ils pourraient continuer à bien vivre, avec quelques précautions
et obligations. Mais ce dernier mot gêne… Obliger des orgueilleux
ou des insouciants ! Il aura fallu des milliards d’ans pour créer,
garder et modifier l’ADN, logiciel de construction de l’ensemble
biologique vivant, afin de s’adapter et survivre ; des millions d’ans
pour se séparer du chimpanzé, vieux cousin lointain ; quelques
deux cents mille ans de progression pour que l’homme utilise mieux son
cerveau. Et dix mille ans seulement d’intelligence avérée,
pour écrire les livres de l'histoire de l'être humain!
Courte période (si elle doit s’arrêter), devant celle du
soleil. Et elle risque de s’arrêter en quelques décennies,
vues les destructions et rapts continus des terriens de la démographie
galopante…
Nous voyons bien cette évolution de la vie créant, mais détruisant
de plus en plus rapidement. Tout débute et tout finit. Le temps presse
pour faire comprendre aux habitants de cette terre , que nous vivons sur un
agréable canapé doré, mais déjà usé.
Et surtout, trop d’individus sont là pour le détruire
.
Nous devons comprendre, que le nombre grandissant des
affamés ne pourra
pas être satisfait par les ressources limitées d’un magasin
de dimension fixe ! Les solutions qui tendent vers l’infini ne peuvent
pas se réaliser sur une surface finie… Celle du globe de 40000
km de circonférence seulement…
Nourrir
la surpopulation…
La procréation répond simplement à une défense
du vivant pour que la race continue… (Notre cerveau astucieux en a fait
un moment agréable pour notre race, et le grand logiciel, l’ADN,
nous y oblige !).
La vie n’a pu se développer et subsister que par l’apport
régulier d’énergie. Et manger pour vivre est une vérité à l’origine
de la vie. Energies nécessaires trouvées dans le vivant d’en
face… Donc en mangeant surtout le vivant, cellules, fruit, végétaux,
animaux, et l’homme à l’extrême. D’où cette
crainte des famines à venir…! Mais c’est, un autre problème,
qui semble être pris à la légère !
Notre race s’alimente avec des supports d’énergie récupérés
par notre usine chimique biotique. Ceci après une ingestion journalière
obligatoire de nourriture ou nutriments. Notre microbiote intestinal (cent
mille milliards de micro-organismes soit environ mille cinq cents grammes de
travailleurs résidants tout au long de notre tube digestif…) récupère
l’essentiel, se nourrit, et nous alimente. Le travail de notre organisme,
est de produire assez d’énergie pour survivre, avec les nutriments
filtrés, qui seront transporté par le sang ; c’est un peu
plus compliqué, mais le principe est là : une collaboration
et une superbe usine !
Le cerveau, dans toutes les races et espèces, surveille ces obligations,
les manques qui peuvent survenir, et gare au moment où la faim se fait
sentir, gare aux guerres si la famine s’impose : Il faut respecter la
croissance individuelle et la multitude d’individus ! Pour le cas échéant
, assurer la survie du groupe, et par la victoire, trouver à manger.
Quitte à envisager le cannibalisme ! D’où la nécessité de
contrôler la vie elle même en limitant tous excès,
dont la surpopulation.Car
le temps est venu de bien se rendre compte de toutes
ses obligations naturelles. La croissance saturante
des mangeurs, a presque envahit
tout le jardin Terre.
Ce n’est plus l’Eden !
Ce qui fait bondir les religions qui, liées au politique, pratiquent
depuis des millénaires le contraire, ayant choisi la force par le nombre
de naissances, et la tendresse comme complément familial… Le tout
dans une sécurité armée.
Intelligence et disparition alors ??...
Possible, car nous nous dirigeons vers la disparition,
si la démographie
reste galopante… Parmi les preuves, celles des créations robotiques
pour le bien être (ou la guerre !) Déjà nous parlons du
robot « intelligent » qui effectivement pourra remplacer l’homme… un être
robotique, qui entretiendra une forme de vie proche de la nôtre, dans
un domaine silicium (plutôt que notre base carbone, moins résistante),
ceci jusqu’à sa fin, ou celle de notre
soleil…
L’homme a d’ailleurs commencé à préparer son
successeur : il crée un robot serviteur, qui remplace l’esclave
humain. En lui donnant un cerveau-ordinateur avec en mémoire toutes
nos connaissances et une nouvelle règle logicielle assez puissante pour
qu’il prenne des décisions. L’intelligence
artificielle…
L’homme ne peut s’empêcher de préparer le robot armé qui
tuera à sa place (c’est déjà en cours…) Cela
est universellement grave. Au lieu d’aller vers un monde humble et moins
dense, l’homme augmente les risques. Cette image de l’intelligence
donnée à un « être » mécanique, est
encore contrôlée. Mais des apprentis sorciers donnent de plus
en plus de moyens mémoriels à ces assemblages « mécaniques-moteurs-capteurs-énergie-logiciels »,
qui acquièrent ainsi des possibilités de création, de
décisions.
Et
l'homme lui prépare la vraie intelligence artificielle !
Une
copie de la nôtre,
grâce à nos
milliards de milliards de « data » que
nous rassemblons pour lui. Les grands ordinateurs
de quelques pays, seront ses sources d’apprentissage, bien
différent de celui du petit
homme… pour un cerveau surpuissant
!
Insuffisamment contrôlé le robot modifiera son logiciel, reproduira
ses mémoires, utilisera les métaux. Et quelques bugs non destructifs,
adaptés, (comme les mutations dont nous avons bénéficié),
développeront une possibilité de se libérer de nous...
Du rêve ? Du cinéma ? Pas certain…
L’exemple des robots biologiques que nous sommes n’a pas mal réussi,
partant de presque rien ! De plus, Ils évolueront grâce à l’énergie
du soleil, pendant que nous disparaîtrons, sans manger… Progrès
oui, à condition de tenir les rênes.
Pour les dinosaures, rappelons-nous qu’ils sont morts de faim… Sur
une terre dévastée, qui n’a donné à manger
qu’à de petites choses vivantes, survivantes, pas toutes anéanties.
Mais c’était avec l’intelligence d’il y a soixante
dix millions d’ans.
Les
progrès et l’esprit moderne…
Les précisions sur ce que nous sommes et ce qu’est notre environnement,
ont donc bien augmenté ces siècles derniers avec des philosophies
plus modernes tenant compte des résultats acquis par les esprits cartésiens.
Depuis l’après deuxième guerre , au milieu du 20ème
siècle, les chercheurs, paléontologues, mathématiciens,
chimistes, physiciens, biologistes, astronomes, et autres, et les outils d'observations
créés par des techniciens de pointe, ont travaillé ensemble.
Ces sciences modernes enfin réunies, ont densifié les informations,
mais sans modifier les paramètres du temps qui passe… Les mathématiques
ont augmenté en complexité, et les philosophies ont vu la vie
en panoramique. Grâce aux réalisations des grands instruments,
et leurs performances, les redécouvertes ont été affinées
et acceptées. Sans contrarier l’esprit de recherche pour trouver
d’autres traces ; que l’on présentera encore comme vérité…
L’assiduité dans l’activité des cerveaux curieux
et géniaux, a peu changé chez les chercheurs. Il faut reconnaître
que les intuitions des anciens et l’empirisme ont souvent guidé l’orientation
de recherches, et été source du progrès des connaissances
et de l’explosion des esprits géniaux modernes. Pas étonnant
de voir sortir aujourd’hui des raisonnements quantiques avec des résultats
de plus en plus précis, prédictifs et vérifiés
par expériences.
Cela nous éloigne encore de l’obscurantisme, et nous oblige à aller
plus loin ! Tout peut changer désormais en une décennie, même
en trainant derrière nous les us et
coutumes encore quelques temps…
Les
recherches et les religions…
Avant les moissons de découvertes de ces années, obligatoirement
scientifiques, certains passages écrits dans les textes principaux ou
sacrés, de toutes religions, de tous groupes humains à la conquête
du Monde , ont montré un raisonnement « en commun» de l’humanité,
presque synchronisé.
D’autres nations anciennes, sur d’autres continents, d’autres
groupes humains ont évolué presqu’à la même
vitesse. L’Indus, Sumer, l’Egypte, les Nazca, la Chine… Ils
ont été théistes ou polythéistes, ont construit
d’immenses monuments pour leurs chefs
et leurs dieux, mais sans partager leurs choix.
Les religions encadraient des peuples
guidés par des chefs qui ont utilisé la
force et organisé la sécurité de la masse. Créations,
langages, sciences apparaissaient et se répartissaient ensemble sur
Terre, dans des espaces de vie différents, presque aux mêmes époques.
Des cerveaux d’origine différente semblent penser et créer « en
même temps »... Peut-être parce que les lois de l’évolution
sont les mêmes pour tous les humanoïdes… Le mieux serait,
et devrait, aidé de l’évolution technique, nous amener à faire
coïncider nos résolutions !
Rêvons à des dirigeants ou politiques se souciant d’un
avenir sans danger…
Diable
et Dieu…
Ce sont des créations de l’homme pour l’homme, à partir
d’un moment dans le temps, où l’évolution du cerveau
et de l’intelligence a dépassé le seuil des réactions
de survie bestiale. (Réactions bestiales que certains hommes ne peuvent
toujours pas contrôler, de nos jours, avec leurs manières
de conquistadors !)
Le savant ne voit pas Dieu au même endroit, ni sous la même forme.
Le choix déjà ancien d’une création du monde « un
jour, quelque part », ou bien : « c’était toujours
ainsi » est cependant encore accepté. Pourtant cette création
directe et subite est aussi impossible à expliquer que l’apparition
explosive de l’énergie primordiale.
Une erreur humaine, une de plus, a été de donner dans les recherches
de vérité, une utilisation de l’agressivité entre
les tenants d’une interprétation de la Vie. Les discordes n’étant
plus de notre âge, il faut parler sans heurts, des Dieux et de l’Energie,
et admettre que les religions ne suffisent plus pour les explications alors
qu’elles sont encore un secours moral
pour beaucoup.
La sécurisation dans nos sociétés fait que le besoin originel
de la prière est nettement moins nécessaire. De nos jours, la
sécurisation est devenue plus matérielle que sentimentale. Dieu était
la solution valable, associé aux religions encadrant les peuples dans
des époques plus rudes. Préserver l’image simple de Dieu
satisfait l’être qui a besoin d’accepter les difficultés,
et de se refugier dans des pensées positives.
La lecture de la Bible, plus accessible
aux peuples d’Europe occidentale,
n’est pas rejetée par les curieux de mon espèce. Curieux
du passé et du futur. La majorité des êtres
vivants ne parlent pas du futur, mais de demain.
Il faudra pourtant parler de ce majestueux
générateur de l’énergie
universelle : le dieu Energie ! Dont nous dépendons
de plus en plus .
A notre niveau, le Soleil pourrait
faire l’affaire, mais cette adoration
Egyptienne prémonitoire était faussée, car ils ne savaient
pas que le soleil est fils de l’énergie primordiale ! Adoration
qui n’empêchera pas de remplacer les offrandes par un nouveau besoin
: manger pour vivre, avec l’approche d’une limite de densité humaine
sur Terre. Je ramène toujours cette pensée…
Il y aura donc encore, pendant quelques
temps, deux manières de voir
Dieu : avec ou sans prière. Celle qui nous a géré depuis
des milliers d’ans, et celle qui nous oblige à adorer ce nouveau
Dieu, présent à l’origine et pour toujours, et qui est
certainement le même , dans les diverses interprétations des hominidés
.
Les
limites…
Il n‘y a pas de limite dans l’évolution visible de la complexité du
vivant. Ni dans les nouvelles connaissances … L’homme observe le
fond de l’univers ; il se tourne aussi vers le microcosme, et au plus
près du départ de la création, il y a 13.7 milliards d’ans.
On y trouve en tout premier le quark. C’est pour le moment, la brique
reconnue comme composant de tout ce qui a pu apparaître. Invisible, impalpable,
il est le lien ultime (pour le moment) des explications scientifiques de toutes
découvertes récentes.
C’est ce quark par ses propriétés, qui assemble tous les éléments,
et se retrouve dans la construction de tout ce qui nous entoure, de l’atome à la
tour Eiffel, et du vivant sur Terre. Dans notre univers observable, fouillé,
calculé, nous respectons la supposition d’un « avant lui ».
Pour nous, petits hommes, ces constructions à base de quarks ont donné du
solide visible...
Mais quelle surprise d’apprendre par la science, que toute cette représentation
matérielle qui nous entoure, n’est que du vide, et qu’il
ne s’agit que de répartitions ordonnées de points d’énergie,
respectant quelques lois universelles. Et nous nous sentons vivants en subissant
cette dictature! Energie vivante ! Attention, nous nous approchons d’explications
trop pointues pour que nous en
parlions maintenant…
Tous comptes fais, si le temps
et l'espace étaient autres avant le Big-bang,
nous avons au moins des certitudes sur 13,7 milliards d'années analysées,
une Terre de 4,5 milliards d'années parfaitement placées
dans les calculs, une apparition
de vie il y en a 3,5.
Et les traces au sol, ou en terre,
ou entre les roches, pourtant
tant remuées
par une planète agitée, donnent encore des squelettes, des outils,
et objets que les paléontologues et chercheurs situent parfaitement
dans le temps. Ils peuvent même suivre dans le temps, l’évolution
des techniques liée aux objets construit par les hominidés, ou
autres vivants, et l’évolution de l’hominidé lui-même
! Que d’améliorations …
L’inconnu
autour de nous…
Cette évolution sur tout ce temps de vie n’est pas un rêve,
dans lequel chacun de nous ne serait qu’un esprit de songes et de cauchemars.
Des étincelles d’énergie bien organisées, regroupées
et synchronisées, avec leurs volumes vides particuliers, voyageant dans
le vide de l’univers, qui « en vérité », ne
l’est peut-être pas…
Ou bien, sortant de l’onirisme, et allant vers l’incertitude, serions-nous
un tour de magie d’une Déité, qui nous aurait jeté (avec
les restes de l’énergie diluée) dans l’espace depuis
le Big Bang ; et nous nous serions retrouvés sur une planète?
Et bien non, la science date
avec certitude l’évolution du Big
Bang à nos jours ! L’inconnu se trouve dans le passé lointain,
avant cette explosion. L’avenir inquiète moins, hors notre possible
disparition, et pourrait se prédire. Mais l’homme qui pendant
une petite période, a survécu aux tempêtes des colères
de notre Terre, et dans sa forme que nous connaissons, est devenu le plus puissant
et intelligent des êtres
vivant sur Terre.
Rien n’empêche qu’il cherche à dépasser les
limites connues et pour cela il trouvera peut être une solution à certaines
incompréhensions où le quark toujours là, pourrait nous
aider. Mais comment l’apprivoiser, ce quark, lui qui pour le moment semble
nous gérer ? Et en plus, il ne se promène qu’avec
des compagnons, jamais seul !
Voila une bonne raison de chercher
encore…
Petite
récréation …
Revenons un peu à de plaisants propos... J’ai bien ri avec cette
remarque sur le désir de s’éloigner d’un parleur
harassant, en dépassant la vitesse du son. Un moyen de quitter un discours
fatiguant et trop sérieux… Mais si cette extraordinaire vélocité cesse,
le son rattrape le fuyard ?
Encore faut-il que l’atténuation
du son pendant sa propagation
ne soit pas trop forte.
Et que les capteurs audio soient
hyper sensibles !
Et si l’on veut vraiment rire, ou sourire, pourquoi ne pas participer
aux bruyantes foules du carnaval de Dunkerque. Tous les gens y sont heureux
de faire ensemble la fête,
et pendant trois mois ! Cela
prouve que tout est possible
!
Allons, il vaut mieux écrire.
Retour
au sérieux …
Quant à Monsieur Einstein, l’impliquer dans des explications puériles
sous prétexte que son sourire est merveilleux, ferait oublier le sérieux
de son œuvre, cela est rejeté. Il a renforcé le champ des
progrès humains, tout en nous prévenant du risque de se diriger
vers la disparition de la race, par excès de connaissances et applications
corollaires négatives.
Primeur de la pensée ! J’admire ce cerveau qui a ouvert celui
de bien des chercheurs, les plus jeunes faisant mieux que lui maintenant, pour « savoir ».
Encore des progrès d’où découleront du bien-être
mais aussi du danger ! L’homme est donc admirable dans sa génétique
hyper dynamique, et vulnérable par ses excès : l’évolution
est à surveiller.
Il ne faudrait plus que
ce soit des guerres de
la bestialité qui apportent
aux chercheurs les progrès guerriers ! Souvenez-vous d’Hitler
qui avait créé un laboratoire de recherches secret pour inventer
des armes plus meurtrières…
Car l’outil de mort, une arme, a été la première
invention de l’homme pour survivre … et tuer. L’historique
de l’évolution de l’arme pour tuer, est d’ailleurs
représentatif, dans le temps, d’une évolution constante
sans cesse « améliorée » ! On part d’un os,
ou d’un caillou ; on finit par l’atome
et le laser.
L’amour de l’autre …
Dommage que l’amour universel ne puisse se développer, et dommage
que les groupes humains plus ou moins sécurisés, ne puissent
contrôler le logiciel génétique. Celui-ci est très
puissant, et il doit y avoir un petit fragment d’ADN qui doit titiller
l’égo de l’individu pour en faire un meurtrier, sous le
prétexte de défendre l’espèce… ou
de calmer sa faim !
En fait, la nature même de cet instinct de survie le place dans les prédateurs.
Au départ, c’était pour se nourrir. Donc tuer… puis être
le maitre, physiquement, puis intellectuellement… plus ou moins méchant
! Plutôt méchant
!
Ce qui est exploité par les plus malins : certains dirigeants, politiques,
religieux, maîtres, maffieux, criminels et autres, qui se moquent de
la vie, de la Vie. Il est alors encore bon, pour certaines âmes sensibles,
(et il y en a encore dans ce monde cruel), d’avoir un soutien religieux
ou communautaire pour calmer cette peur du vide, cette peur de l’autre,
en recherchant la sécurité.
Cette forme d’aide d’origine humaine, et non de Dieu, existe encore
après s’être mise en place il y a huit ou dix mille ans… Elle
a été exploitée par des chefs, puis des rois, et/ou des
religions, mais a donné et donne encore un secours moral à beaucoup
d’humains.
Savoir tout cela et ne
pas pouvoir ou vouloir
développer une paix mondiale,
est une des grandes faiblesses de l’homme encore « moderne ».
Ainsi des hommes sont morts ou meurent avant l’heure, continuent à se
battre entre eux, et oublient
que les humains sont tous cousins,
toutes couleurs et groupes
confondus.
Alors, nos origines,
fautives ? ?
Les sociétés actuelles oublient ou méconnaissent l’origine
africaine de nos ancêtres, origine homogène, noire, et dépoilée,
et qui s’est tant diversifiée en apparences, pendant la conquête
du monde. C’est une longue histoire étalée dans le temps.
Le but est de vivre dans le calme, et de manger sans se faire manger par d’autres
vivants et de chercher et produire
les aliments. Toujours cette
obligation de manger !
Ces groupes d’hommes issus de nos origines, sont partis d’Afrique,
dans différentes directions sur une Terre encore libre. Survivants de
catastrophes naturelles de notre globe au cours de millénaires, l’homme
chaque fois développe une adaptation toujours liée à la
survie et s’arme pour se protéger ou pour chasser. Ce pouvoir
d’adaptation et de procréation, amène la race humaine à se
développer en sociétés armées
sur tous les continents.
Les différents groupes humains s’adaptent aux climats et sols,
font souches, et lentement se « colorent » sur le nouveau territoire
que l’on défend… L’expansion démographique
provoque celle territoriale, et les pays finissent par se toucher, parfois
débordent !
Notre époque voit un globe terrestre entièrement conquis ! Cette
foule mondiale nous assure désormais le retour à l’homogénéité :
une race mono-couleur d’hominidés mélangés, affamés,
sur un globe terrestre entièrement conquis, saturé, ravagé.
Les politiques n’auront plus à gérer
les migrations…
Démarche
spirituelle …
Malgré tout, l’humanité voudrait tout de même connaître
cette énergie à l'origine de l'évolution de Tout, distribuée à l'instant
de la création de notre univers visible, boule explosive incompréhensible.
Et ce "Dieu" inconnu, au-delà du big-bang ? Le dieu « Energie » ?
Les résultats des nouveaux travaux de recherches confirment et affinent.
Mais pas encore de précisions sur les origines de la création.
Et nombre d’athées deviennent des "croyants parfois solitaires".
Les penseurs, chercheurs, philosophes, et autres, n’auront pas dans ce
domaine, et de si tôt, une réponse exacte pour satisfaire leur
curiosité… Et la recherche du « d’où venons-nous» continuera,
nécessaire. Avec certainement un jour une trouvaille de pensée,
expliquée par les mathématiques et la physique modernes. Ou mieux… Dans
une ou deux générations, si tout va bien… Si le monde s’assagit
! A condition d’être là.
Petit
résumé …
La vie de l’homme actuel est une étincelle de temps dans l'évolution
du vivant sur terre. Il y a eu quelques centaines de milliers d’années
de mise au point du bonhomme, suivi d’un développement très
rapide pour qu’il casse en un siècle son beau jouet : la planète
Terre. Il est devenu le conquérant destructeur, utilisant toutes espèces
végétales et animales, qu'il "mange" pour redonner à son
petit corps un peu d'énergie.
Comme tout va de plus en plus vers l'infini sur un globe limité, ce
super intelligent devrait voir venir une explosion humaine, qui si elle arrive,
restera invisible au "créateur" ; l’orgueil des meneurs
sera-t-il un jour vaincu par la vraie intelligence ?
Comprendront-ils à temps que la seule guerre à faire est d’obliger à un
retour progressif et non traumatisant vers une Terre moins peuplée qu’à l’époque
des Romains, mais en tant que Gaulois pacifiste.
Je crains la bonté de ceux qui, contrecarrant l’esprit de Mao,
voient une Terre peuplée de quinze milliards d’humains … Le
calcul élémentaire devrait leur suffire !
J’allais oublier de te répondre au sujet de Jean Rostand, figure
intéressante par son abondante littérature, mais dépassée
aussi. Il ne pouvait «approfondir» sa science par manque de moyens,
et voilà pourquoi il nous laisse dans le flou - Il est dommage que son
amitié avec les eugénistes (modifier l’homme…) fasse
tache sur sa philosophie, la nature se chargeant des modifications gratuites
... mais de temps en temps !
Je te salue, cher Ami, je cherche toujours, et en attendant de trouver, je
te souhaite bonne journée ensoleillée, quel que soit le temps.
A bientôt de te lire.
Janclode
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